
Sébastien Cobut
Managing Partner
Tous les 8 mars, c’est le même cirque dans ma tête.
→ "T’es sûr que c’est ta place ?"
→ "Tu veux pas plutôt écouter et laisser parler celles qui vivent ça au quotidien ?"
→ "T'es pas en train de faire du mansplaining, là ?"
Bref, un vrai Rubik’s cube mental.
Mais ne rien dire, c’est aussi choisir la facilité.
Et si on pousse la logique jusqu’au bout, alors seuls les manchots ont le droit de parler du handicap et seuls les cétacés peuvent militer contre la surpêche ! 😉
Donc, je le dis, haut et fort : je suis féministe !
Pas pour cocher la case "bon allié". Pas pour me donner bonne conscience ou faire grimper mon social score sur LinkedIn.
Mais parce que b*rdel, c’est juste logique !
Qui, en 2025, peut encore dire : "Les écarts de salaire, les doubles standards, la charge mentale ? Boh, c’est pas si grave, allez bisous."
Qui ?
Être féministe quand on est un homme, c’est un devoir.
→ Un devoir de questionner ses privilèges.
→ Un devoir de reconnaître que le système a été conçu par et pour nous.
→ Un devoir de s’indigner quand, en 2025, l’écart salarial existe encore, les stéréotypes persistent et que la charge mentale repose toujours sur les mêmes épaules.
Alors non, ce post n’a pas vocation à expliquer aux femmes ce qu’elles savent déjà par cœur.
Il est là pour rappeler à mes semblables que l’égalité ne se fera pas sans nous.
Et ça, franchement, ça mérite bien un post #IWD25 ! ☺️
PS : Ne sachant quelle illustration choisir, je vous en offre deux. C'est cadeau!
