
Sébastien Cobut
Managing Partner
Brûlons les tests de personnalité sur la place publique.
Enfin, c’est ce que certains voudraient !
Parce que « ça enferme », parce que « c’est réducteur », parce que « moi, je suis trop complexe pour être résumé en quatre lettres ».
Mais en vrai ?
Le problème, ce ne sont pas les tests.
C’est ce qu’on en fait.
Les pires ennemis de la psychométrie ? Ceux qui la charcutent sans anesthésie !
→ Qui dégainent un MBTI comme un scanner cérébral alors que ça parle juste de préférences de fonctionnement, pas d’aptitudes ni de compétences.
→ Qui jettent un œil sur un Insights Discovery et tranchent : « Ah, t’es rouge, tout s’explique ! ». Mais non, tout ne s'explique pas, surtout pas comme ça.
Et puis il y a les puristes du recrutement à l’instinct, qui évitent soigneusement ces outils.
✖︎ « On préfère le dialogue » (traduction : on n’a pas le temps)
✖︎ « On veut éviter les biais » (mais on recrute au pif et aux biais cognitifs bien ancrés)
✖︎ « C’est pas fiable » (alors que certaines batteries sont certifiées avec des métriques en béton).
Bref, un bon test, bien administré, ça ne met pas une étiquette. Ça ouvre des perspectives.
Et vous, plutôt psychométrie éclairée ou puriste du pif ?
PS : L'image? Un détournement, un cadeau d'une équipe incroyable et d'un des jobs les plus transformateurs qu'il m'ait été donné. De ceux qui te rendent meilleur.
PSS : La vie privée va mieux (enfin, je crois)









